Communiqué
Pour la deuxième fois, le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), la Ligue pour la défense des droits de l’homme et du citoyen (LDH) et d’autres officines pro-immigration ont organisé une « Fête de la peur », avant-hier à Saint-Nazaire. De quelle peur parlent-t-elles ? Il s’agirait de celle que ressentiraient les Nazairiens à l’égard de l’immigration clandestine. Il y aurait donc lieu de conjurer cette peur, de même que, comme le rappelle l’affiche, « le soupçon » : celui qu’alimenteraient les clandestins.
Le regard que portent beaucoup de Nazairiens à l’endroit de l’immigration en général et des clandestins en particulier n’est pas animé par la peur et le soupçon, mais la constatation de faits objectifs. Beaucoup de nos compatriotes font un légitime lien de cause à effet entre une immigration submersive et la dégringolade que connaît notre pays ces dernières années : cela commence par les petits faits de délinquance qu’ils voient au quotidien à Prézégat et à la Bouletterie, et cela finit par ceux qu’ils suivent à la télévision, comme l’égorgement d’un lieutenant-colonel de Gendarmerie par un militant de l’État islamique, ce vendredi. Au-delà même de l’insécurité induite, l’immigration massive est une ruine financière pour la Nation, qu’elle contribue à endetter, et menace notre système de protection sociale.
Cela, beaucoup de Nazairiens le savent. Ils ne sauront en retour se laisser intimider par les slogans stigmatisants du type « faire sa fête à la peur ». Et s’il y a bien un soupçon à avoir, c’est bien que par leurs actes, le MRAP et la LDH alimentent la préférence étrangère.
Avec le Front national à la Mairie, ce type de fête n’aura plus le soutien officiel de la Ville, ce qui est aujourd’hui le cas, comme vient le rappeler la présence du logo de Saint-Nazaire sur ses supports de communication. D’ores et déjà, nos élus refusent de subventionner des associations du type MRAP ou LDH au conseil municipal, refus motivé par leur caractère antinational, comme nous l’expliquions en séance de janvier dernier, préférant accorder l’argent public à de vrais projets culturels, comme l’Office public de la langue bretonne.
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