Budget genré à Nantes : une perspective woke

Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique dénonce une nouvelle fois l’obsession idéologique de la mairie socialiste de Nantes, qui préfère consacrer du temps et des ressources publiques à des lubies woke plutôt qu’à traiter les véritables problèmes de sa ville.

Alors que l’insécurité explose à Nantes, que les Nantais sont de plus en plus victimes d’agressions, de vols et de violences, la municipalité décide depuis cette semaine de concentrer ses efforts sur un « budget sensible au genre » et la transformation des espaces publics selon des critères subjectifs et genré. Cette initiative, confiée à un groupe restreint de vingt-cinq femmes et LGBT, témoigne d’une politique de division plutôt que de réelle inclusion.

Si l’égalité entre les femmes et les hommes est une cause essentielle, elle ne doit pas servir de prétexte à des dépenses superflues et à une mise sous tutelle de notre cadre de vie par des groupes militants. Loin de lutter contre l’insécurité réelle qui gangrène nos quartiers, loin de parler de l’islamisation et l’immigration, qui sont deux conditions objectives d’insécurité des femmes nantaises, cette initiative pseudo-féministe ne s’attaque en rien aux causes profondes de la peur ressentie par de nombreuses femmes dans l’espace public.

L’insécurité à Nantes ne se combattra pas par l’élargissement des trottoirs ou la végétalisation des places, mais par une politique de fermeté face aux délinquants et aux criminels et par une présence policière nationale et municipale renforcée.

Cette perspective woke offerte par la majorité des gauches qui dirige le conseil municipal de Nantes est fort éloignée des urgences à traiter… Plutôt que de gaspiller l’argent des Nantais dans des expérimentations de fausse sociologie, la municipalité doit rétablir l’ordre et la sécurité pour tous. Loin des dérives idéologiques et communautaires de la gauche nantaise, il y a un chemin et une vraie opposition : celle du RN, pour la sécurité des personnes et des biens, à Nantes comme partout dans le pays.

Gauthier Bouchet

SOS Méditerranée : Gauthier Bouchet persiste

Article de Presse océan du 30 décembre 2024

JUSTICE. L’ancien conseiller municipal de Saint-Nazaire et secrétaire du RN44 se pourvoit en cassation au sujet de la subvention accordée par la Ville à l’association SOS Méditerranée.

En 2021, Gauthier Bouchet déposait un recours devant le tribunal administratif (TA) de Nantes pour s’opposer à une subvention de 10 000 euros à destination de l’association SOS Méditerranée, qui vient en aide aux migrants en détresse en Méditerranée. Un an plus, le TA donnait raison à la Ville de Saint-Nazaire et jugeait donc la subvention légale. Gauthier Bouchet avait alors interjeté appel. La cour d’appel, ce 24 octobre 2024, a confirmé la première décision judiciaire.

« Inacceptable »

Malgré la décision de la Justice, « qui a rejeté il y a quelques semaines en appel [son] recours contre la subvention de soixante mille euros (NDLR : c’est dix mille euros par an, pendant six ans) attribuée par la Ville de Saint-Nazaire à l’association SOS Méditerranée, le combat continue. », avance Gauthier Bouchet, qui annonce donc, samedi 28 décembre 2024, qu’il se pourvoit en cassation. A ses yeux, « l’ONG SOS Méditerranée, clairement orientée vers la promotion de l’immigration, ne devrait pas être financée avec l’argent des contribuables sans leur consentement explicite. » Il [lui] « semble inacceptable que l’argent des Nazairiens soit ainsi utilisé pour soutenir des actions qui ne correspondent pas à leurs intérêts ».

C’est la raison pour laquelle, en dépit de la décision de justice de ces dernières semaines, [il se pourvoit] « aujourd’hui en cassation », [indiquant que] toujours, à Saint-Nazaire comme ailleurs, « le Rassemblement national (RN) veillera à ce que les ressources communales soient utilisées de manière respectueuse des souhaits des contribuables, et que soit garantie la neutralité du service public. »

Sur le recours en justice contre SOS Méditerranée

Malgré la décision de la Justice, qui a rejeté il y a quelques semaines en appel mon recours contre la subvention de soixante mille euros attribuée par la Ville de Saint-Nazaire à l’association SOS Méditerranée, le combat continue. L’ONG SOS Méditerranée, clairement orientée vers la promotion de l’immigration, ne devrait pas être financée avec l’argent des contribuables sans leur consentement explicite. C’est pourtant la voie qu’avait choisi le conseil municipal de Saint-Nazaire en 2020, suscitant mon recours.

Il me semble inacceptable que l’argent des Nazairiens soit ainsi utilisé pour soutenir des actions qui ne correspondent pas à leurs intérêts : bien au contraire, tant il est désormais prouvé que SOS Méditerranée travaille de concert avec des filières favorisant l’immigration clandestine en Europe.

C’est la raison pour laquelle, en dépit de la décision de justice de ces dernières semaines, je me pourvois aujourd’hui en cassation. Toujours, à Saint-Nazaire comme ailleurs le Rassemblement national (RN) veillera à ce que les ressources communales soient utilisées de manière respectueuse des souhaits des contribuables, et que soit garantie la neutralité du service public.

Succès du RN aux législatives

À l’issue du second tour des élections législatives anticipées, le Rassemblement national (RN) progresse partout dans le département de la Loire-Atlantique. Il obtient ainsi 28 % des suffrages exprimés, figurant en deuxième position au niveau départemental et dans la plupart des circonscriptions. Dans le détail, en Loire-Atlantique, le vote RN progresse de 5 à 46 % depuis le premier tour des élections législatives, suivant les circonscriptions.

Au niveau communal, particulièrement dans la ruralité, les circonscriptions dans lesquelles le RN s’est qualifié au second tour offrent des résultats souvent encore plus hauts que la moyenne pour nos candidats : 40 % à Saint-Joachim, 44 % à Crossac, 46 % à Saint-Viaud, 48 % à Chauvé, 50 % à Montoir-de-Bretagne, 51 % à Juigné-des-Moutiers, 55 % à Donges et Soulvache…

Dans la première circonscription, Bryan Pecqueur, en triangulaire contre Karim Benbrahim, du Nouveau front populaire, et Mounir Belhamiti, d’Ensemble pour la République, obtient 16 % des suffrages exprimés au second tour.

Dans la troisième circonscription, Laurie Arc, en triangulaire contre Ségolène Amiot, du Nouveau front populaire, et Matthieu Annereau, d’Ensemble pour la République, obtient 22 % des suffrages exprimés au second tour. Elle progresse de 6 % entre les premier et second tours.

Dans la quatrième circonscription, Gaëlle Pineau, en triangulaire contre Julie Laernoës, du Nouveau front populaire, et Aude Amadou, d’Ensemble pour la République, obtient 22 % des suffrages exprimés au second tour. Elle progresse de 6 % entre les premier et second tours.

Dans la cinquième circonscription, Bruno Comby, en triangulaire contre Fabrice Roussel, du Nouveau front populaire, et Sara El Hairy, d’Ensemble pour la République, obtient 22 % des suffrages exprimés au second tour.

Dans la sixième circonscription, Julio Pichon, en triangulaire contre Jean-Claude Raux, du Nouveau front populaire, et Alain Hunault, divers-droite, soutenu par les Républicains, obtient 35 % des suffrages exprimés au second tour. Il progresse de 5 % entre les premier et second tours.

Dans la septième circonscription, Michel Hunault, en duel contre Sandrine Josso, d’Ensemble pour la République, obtient 42 % des suffrages exprimés au second tour. Il progresse de 46 % entre les premier et second tours.

Dans la huitième circonscription, Gauthier Bouchet, en duel contre Matthias Tavel, du Nouveau front populaire, obtient 38 % des suffrages exprimés au second tour. Il progresse de 33 % entre les premier et second tours.

Dans la neuvième circonscription, Bastian Maldiney, en duel contre Jean-Michel Brad, divers-centre soutenu par Ensemble la République et les Républicains, obtient 37 % des suffrages exprimés au second tour. Il progresse de 14 % entre les premier et second tours.

Dans la dixième circonscription, Stéphanie Cotrel, en triangulaire contre Sophie Errante, d’Ensemble pour la République, et Maxime Viancin, du Nouveau front populaire, obtient 28 % des suffrages exprimés au second tour. Elle progresse de 9 % entre les premier et second tours.

Après son bon succès national et local des élections législatives, le RN prépare désormais les élections municipales. Il est pour nous évident que le macronisme et le mélenchonisme représentent une même source de déclin pour la France : ces objets politiques ne défendent pas une vision patriote, ce ne sont pas nos options, et nous les combattrons dans les mois à venir.

Gauthier Bouchet

Donges conforte le vote Rassemblement national

Article de Ouest-France du 9 juillet 2024

Devancé par le Rassemblement national au premier tour, à Montoir-de-Bretagne, Matthias Tavel y termine second (49,5 %) avec trois voix d’écart (1 512 contre 1 515) ; un rééquilibrage du vote vers le candidat du Nouveau front populaire sur fond d’un bon report des voix (du Parti socialiste et de Renaissance). Le basculement de cette commune, historiquement de gauche, n’en est pas moins confirmé.

À Trignac, Matthias Tavel repasse devant Gauthier Bouchet au second tour en gagnant 788 voix (1 729 contre 1 604 à son adversaire). Le report de voix lui est favorable. Pour autant, cette commune, elle aussi historiquement à gauche, se désinhibe quant au vote d’extrême droite.

À Donges, Gauthier Bouchet améliore son score de 255 voix entre les deux tours (54,50 % contre 44,69 %). C’est la commune de la circonscription qui accorde le plus fort pourcentage d’électeurs au candidat du RN. Le report de voix, au contraire de Montoir, a davantage profité à Gauthier Bouchet.

Un CRS brûlé au second degré à Nantes


Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique exprime son indignation à la suite de l’agression violente dont a été victime un CRS à Nantes, dimanche soir. En effet, lors des manifestations qui ont suivi l’annonce des résultats du second tour des élections législatives anticipées, un policier a été grièvement blessé par l’explosion d’un cocktail Molotov. Il souffre désormais de brûlures au second degré. Nos pensées vont avant tout à ce policier courageux, à sa famille et à ses collègues.

D’autres actes de violence inadmissibles, tels que le lancement de feux d’artifice et de bouteilles en direction des forces de l’ordre, ont également été perpétrés par certains manifestants, au même moment. Le RN de la Loire-Atlantique dénonce fermement ces actes, qui menacent la sécurité publique et sapent les fondements de notre démocratie. Il est inacceptable que des policiers, garants de l’ordre et de la sécurité de nos concitoyens, soient ainsi pris pour cibles dans l’exercice de leurs fonctions. Nous demandons que justice soit rendue rapidement et que les responsables de ces actes barbares soient sévèrement punis.

Les résultats des élections législatives, marqués par le succès surprise de la gauche et la montée en puissance du Nouveau front populaire (NFP), ne doivent pas être le prétexte à des débordements et à des violences urbaines. Le RN, malgré les obstacles du front prétendu « républicain », continue de défendre les valeurs de sécurité et d’ordre public, indispensables à la cohésion de notre société, et à soutenir les forces de l’ordre.

Gauthier Bouchet