Sur le Sénat et la France insoumise

Communiqué

Dans une vidéo diffusée le 29 juillet dernier sur les réseaux sociaux, le candidat tête de liste de la France insoumise (LFI) aux élections sénatoriales en Loire-Atlantique qualifie le Sénat d’un « EHPAD de la République« . Quelques instants après, il relativise son statut de haute chambre, pourtant consacré depuis un siècle et demi dans notre système bicaméral.

Les déclarations de cet apprenti parlementaire – et gauchiste confirmé – ne sont pas conformes aux usages de l’institution sénatoriale. Le Rassemblement national (RN) ne les partage en rien, et entend bien envoyer des élus au Sénat pour, notamment, défendre les intérêts des Français et garantir que de tels débordements gauchistes n’y aient pas cours.

Gauthier Bouchet

H. Provost responsable du canton de Saint-Brevin

Communiqué

Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique vient de nommer un nouveau responsable pour le canton de Saint-Brevin-les-Pins : Hervé Provost. Âgé de 72 ans, chef d’entreprise retraité, cet ancien conseiller municipal RPR de Vigneux-de-Bretagne, élu en 1983, fut par la suite adhérent de l’UMP et de LR.

Monsieur Provost animera à partir de cet été la vie militante du RN dans le canton. Le mouvement aspire naturellement à constituer et présenter sa propre liste à l’élection municipale de 2026 à Saint-Brevin, comme il l’avait déjà fait savoir il y a quelques mois.

Gauthier Bouchet

Le Rassemblement national vise le Sénat

Communiqué

Dimanche 9 juillet, le RN s’est rassemblé à La Baule. Au programme de la rencontre : élections sénatoriales, mais aussi élections européennes de 2024 et élections municipales de 2026, avant l’élection présidentielle de 2027.

Le Rassemblement national était à La Baule, dimanche 9 juillet, dans la salle des Floralies, en présence d’Edwige Diaz, vice-présidente du parti, et de Gauthier Bouchet, tête de liste du parti en Loire-Atlantique, pour les élections sénatoriales de septembre.

Au programme de la rencontre : élections sénatoriales, mais aussi élections européennes de 2024 et élections municipales de 2026, avant l’élection présidentielle de 2027.

Cette rencontre marque la première campagne sénatoriale du parti en Loire-Atlantique. « Nous voulons envoyer un message d’espoir. L’objectif est de rétablir l’anomalie démocratique entre l’Assemblée nationale, où nous avons 89 députés, et le Sénat, où nous n’en avons pour le moment aucun », affirme Edwige Diaz.

Jules Castanié

Anti-Police : Seassau doit démissionner

Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique vient de prendre connaissance de la création d’une fresque représentant, pour s’en moquer, la mort de policier, au festival des Scènes vagabondes, organisé samedi dernier à Nantes et financé par la Ville. Il condamne cette représentation avec la plus grande fermeté, demande une peine exemplaire contre son créateur et les organisateurs du festival ayant admis sa mise en place, et la démission d’Aymeric Seassau, adjoint à la culture du maire de Nantes.

Le RN défend les policiers municipaux nantais

Ce matin avec Victoria de Vigneral, conseillère régionale, à la Maison de la tranquillité publique de Nantes. Le Rassemblement national défend nos policiers municipaux !

Un couvre-feu nocturne à Nantes et Saint-Nazaire

Sans surprise, les émeutes se sont poursuivies hier soir en Loire-Atlantique, principalement en région nantaise. Mais, par un phénomène de contagion prévisible, la ville Saint-Nazaire, a également été touchée : pillage d’un fast food à Océanis, pillages aussi jusque dans les rues du centre, au Ruban bleu (Foot LockerZara), confrontations avec la Police et tirs de mortier à la Bouletterie, et harangues violentes d’activistes antifas, rue de la Paix… à deux pas de la Mairie !

De fait, le maire de Saint-Nazaire, ni le reste des pouvoirs publics, ne contrôlent plus rien. À cette situation d’anarchie, doit répondre la Loi et l’ordre ; le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique demande que les maires de Nantes et Saint-Nazaire mettent en place dès aujourd’hui, 22 heures, un couvre-feu nocturne, jusqu’à accalmie de la situation.

L’agglomération nantaise cible d’émeutes

Depuis la mort accidentelle du jeune délinquant Nahel M. à Nanterre, en début de semaine, nos banlieues s’embrasent. Toute mort est une tragédie, mais il nous faut revenir à du bon sens, en arrêtant de cautionner la délinquance et ceux qui s’y adonnent.

Une vague d’émeutes urbaines déferle maintenant sur la France, et l’agglomération nantaise n’y échappe pas. Ainsi, rien que pour la nuit dernière, nous déplorons un magasin visé par une voiture-bélier, des voitures et du mobilier urbain incendiés, des tirs de mortiers sur la façade d’un commissariat à Saint-Herblain : c’est une généralisation de l’ensauvagement. La région nantaise, trop souvent, est la cible de ces racailles qui saccagent tout, s’en prennent à nos symboles républicains dans l’impunité la plus totale.  Quand le « vivre-ensemble » portée par la gauche immigrationniste devient le « vivre avec » il n’y a plus d’État de droit.

Les refus d’obtempérer s’accumulent, et nos élites préfèrent soutenir les délinquants plutôt que nos forces de l’ordre : ces responsables politiques portent en eux la responsabilité de ces émeutes. Si les émeutes ressemblent à celles de 2005 par leur intensité, la particularité de celles d’aujourd’hui est qu’elles sont soutenues par des élus de la République, comme en témoigne la communication de l’antenne départementale de la France insoumise (LFI).

Au Rassemblement national (RN), le message est clair : il nous faut reprendre le contrôle, il n’est pas possible que notre pays bascule dans une sorte de guerre civile. Ces bandes de racailles détestent l’autorité et la France… Le laxisme judiciaire et la stigmatisation de nos forces de l’ordre, ça suffit ! Nous apportons notre soutien le plus total aux dizaines de forces de l’ordre blessées dans l’agglomération, par ces actes criminels.

Bryan Pecqueur

Sur la banderole anti-Gendarmerie à l’Université


Les manifestations qui ont actuellement lieu à Nantes connaissent un niveau de violence sans précédent. Le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique réprouve totalement cette violence.

À l’Université de Nantes, sur le campus du Tertre, cette violence a pris jeudi dernier la forme d’une banderole se référant aux émeutes de Sainte-Soline, avec des menaces de mort implicitement destinées à la Gendarmerie. En tolérant cela sans le dénoncer, Carine Bernault, présidente de l’Université, fait preuve d’un laxisme incroyable envers les racailles qui pourrissent la vie des étudiants. Son parti-pris idéologique est d’ailleurs connu : après avoir choisi Emmanuel Macron, elle semble avoir de paradoxales sympathies pour l’ultragauche.

Après cette énième provocation gauchiste sur le campus, le RN de la Loire-Atlantique appelle à sa démission. Le Rectorat de l’Académie de Nantes peut-il tolérer des propos si orduriers sur les murs d’une institution publique

Gauthier Bouchet