Subvention SOS Méditerranée

Communiqué


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Sans surprise, le conseil municipal de Saint-Nazaire a voté ce matin une subvention de 60 000 euros sur la durée du mandat, pour l’association SOS Méditerranée, soutien de fait de l’immigration clandestine. Ce vote a naturellement été acquis à l’unanimité. Il ne fallait pas attendre autre chose d’une assemblée où siègent essentiellement des élus de gauche…

Le vote de ce subventionnement, puisé dans la poche des Nazairiens, est la preuve, s’il en fallait encore une, de combien cette gauche préfère son lointain à son prochain, par l’application constante d’une véritable préférence étrangère. Le Rassemblement national (RN) renouvelle sa condamnation de cette aide, comme il l’avait initialement formulé dans son communiqué de septembre. Nous disions alors que l’argent public ne devait « pas répondre à un SOS instrumentalisé par des passeurs », et notre position n’a bien sûr pas varié.

Il importe désormais de prendre les mesures nécessaires pour faire annuler l’attribution de cette subvention, et ne pas prélever ainsi inutilement l’argent des Nazairiens. Pour cette raison, dans les jours à venir, le RN déposera un recours devant le tribunal administratif, estimant que cette aide présente une absence d’intérêt local et constitue une violation de la neutralité des services publics. Nous exposerons les modalités de ce recours dans le cadre d’un point presse tenu la semaine prochaine à Saint-Nazaire.

Le maire finance l’aide aux clandestins

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En séance du conseil municipal de Saint-Nazaire de ce vendredi, le maire a indiqué son intention de faire voter en octobre une aide financière à l’association SOS Méditerranée. Celle-ci se monterait à hauteur de 10 000 euros. Pour rappel, cette dernière apporte assistance aux immigrés clandestins.

Ainsi, la gauche nazairienne persévère sans surprise dans son immigrationisme, préférant toujours aider les autres plutôt que les nôtres. Cette préférence étrangère constante est la marque de fabrique de la majorité municipale. Et, naturellement, sa fausse opposition écologiste et communiste ne saurait lui donner tort !

Le Rassemblement national condamne fermement le principe d’une aide financière de la Ville de Saint-Nazaire à une association appuyant objectivement l’immigration clandestine. L’argent public des Nazairiens ne doit pas répondre à un « SOS » instrumentalisé par des passeurs, ONG et autres promoteurs d’une immigration-invasion. Il doit servir aux Nazairiens d’abord !

Masques obligatoires à Saint-Nazaire

Communiqué


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Le maire de Saint-Nazaire a sollicité ces derniers jours le préfet de la Loire-Atlantique au sujet d’une extension du port du masque « dans plusieurs lieux de rassemblement ». Après un avis positif rendu par la Préfecture, le tracé de ces lieux est désormais connu. Celui-ci inclut, notamment, la gare, l’avenue de la République, les centres commerciaux du Paquebot et du Ruban blanc, les marchés.

Des questions se posent toutefois sur la cohérence d’un tracé qui n’inclut pas le front de mer, zone parmi les plus fréquentées de la commune en été, surtout en week-end. Quel est la logique d’un dispositif qui, au prétexte de réduire la contagion, met de côté l’un des secteurs où la présence humaine, gonflée de l’apport touristique, est la plus forte ? Ce tracé interroge.

Posant la question, nous ne jugeons pas d’ailleurs de la pertinence de cette extension du port du masque obligatoire, qui a ses détracteurs et ses partisans, relevant d’un principe de précaution élémentaire tout en constituant une restriction objective de nos libertés. Encore peut-on s’accorder sur le fait que la « seconde vague », crainte et promise, semble heureusement faire défaut. Il doit également être relevé que le maire agit à rebours des nécessités, refusant le couvre-feu nocturne des quartiers les plus sensibles durant le confinement, puis donnant au port du masque dans sa commune un caractère obligatoire ; exception faite il est vrai de certains secteurs qui, comme le front de mer, concentrent l’essentiel des politiques publiques municipales depuis plusieurs années et constituent d’importantes réserves de voix pour la majorité de gauche.

Nous espérons qu’il faille y voir une coïncidence, et non un choix. Mais, quand nous constatons que cette décision, en plus d’être contestable et visiblement orientée, semble de plus s’inscrire dans une coordination avec Pornichet et, au-delà de l’intercommunalité, La Baule-Escoublac, nous pouvons nous questionner : le maire agit-il pour ses administrés ou pour ses électeurs ?

L’insécurité progresse encore à Saint-Nazaire

Communiqué


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Les faits-divers d’insécurité progressent encore à Saint-Nazaire. Les tirs d’armes à feu, exceptionnels jusqu’à l’an dernier, semblent désormais devenir une généralité. Que l’on en juge : depuis ces derniers jours, des tirs ont éclaté, successivement à la Bouletterie, la Tréballe, Plaisance, puis au Petit caporal.

Jeudi soir, le comble de l’horreur a été atteint lorsque, au Petit caporal, un homme a été grièvement blessé de plusieurs balles, puis, quelques heures plus tard, une fillette. Cette hausse spectaculaire de l’insécurité doit poser question aux Nazairiens. Veulent-ils que leur ville reproduise les pires pages de La France Orange mécanique, cet essai lucide avant l’heure, documentant l’ensauvagement de notre pays ?

Le maire de Saint-Nazaire, premier magistrat de la Ville et officier de police judiciaire, n’agit pas. Dans les dernières semaines de sa campagne, reprenant partiellement des mesures du Rassemblement national (RN) pour diminuer l’insécurité — augmentation des effectifs de la Police municipale et renforcement de la vidéoprotection — il avait pourtant cru donner le change. Mais les Nazairiens ne peuvent se contenter de demi-mesures verbales, il faut maintenant des actes concrets.

Au conseil municipal de Saint-Nazaire

Communiqué


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Le nouveau conseil municipal de Saint-Nazaire a été installé hier après-midi. À l’issue du scrutin de dimanche dernier, la majorité sortante a donc été réélue. Une opposition écologiste et communiste lui fait face.

En vue du second tour de l’élection municipale, les deux candidats en lice avaient beaucoup promis sur le monde d’après : changer les méthodes, changer les élus, changer la ville. Mais la séance du conseil municipal d’hier n’a pourtant pas donné la mesure de ces annonces, et le monde d’après ressemble à celui d’avant… Le maire s’est ainsi illustré dans sa volonté d’associer les oppositions de droite et du centre à un comité de réflexion, tout en rejetant le Rassemblement national qui, au reste, n’a rien sollicité, et compte bien agir dans la vie publique nazairienne en dehors de l’Hôtel de ville.

Quant aux élus EELV-PCF issus de la liste Ensemble, ils ont entamé une opposition de façade, bien logique pour ceux qui, pendant cinq ans et demi, ont tout validé de la stratégie du maire sortant. Ainsi, l’opposition n’a pas remis en cause le nombre d’adjoints au maire (qui monte désormais à dix-huit), nombre élevé dont, il est vrai, elle bénéficiait encore il y a quelques mois. Par ailleurs, elle ne s’est que mollement prononcée sur l’évolution des indemnités des élus (- 3 % pour l’opposition, mais + 9 % pour les adjoints !), préférant une confortable abstention à un vote défavorable.

Réélection du maire de Saint-Nazaire

Communiqué de presse de Gauthier Bouchet, conseiller municipal de Saint-Nazaire


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Nous prenons acte de la réélection du maire de Saint-Nazaire, David Samzun. Dans un contexte national d’une abstention historique, largement due à la pandémie de coronavirus, et encore aggravée en ce second tour des élections municipales, Saint-Nazaire ne fait pas exception. Aussi, devons-nous considérer ce résultat comme subjectif, et la validité de de scrutin comme relative : au fond, monsieur Samzun ne récolte que 18 % des suffrages des électeurs inscrits, et perd 5 000 voix en cinq ans.

Nous observons aussi que la majorité de du maire sera fragile. Cela n’exclut pas la potentialité d’une élection partielle en cours de mandat, pour peu que quelques élus se dissocient de la future majorité et se coalisent avec la future opposition. Or, nous avons observé une telle division progressive de la majorité au cours du municipe actuel, particulièrement ces deux dernières années.

Par ailleurs, nous laissons soin aux électeurs de donner une alternative réelle aux gauches dès 2021, en choisissant la voie que nous proposerons avec nos candidats aux prochaines élections départementales. Le RN sera naturellement présent dans les différents cantons de l’agglomération nazairienne et de l’Estuaire, et continuera à participer à la vie publique de Saint-Nazaire, comme il le fait depuis maintenant dix ans.

► SUR CE MÊME THÈME

Gilles Denigot, l’écologie de salon

Communiqué


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La campagne municipale touche à sa fin à Saint-Nazaire. Elle monte en intensité, tandis que le niveau baisse. Chacun des prétendants, le maire sortant et la première adjointe, en sont maintenant réduits à faire dans le « gros vert qui tâche » pour capter le vote écologiste.

Cette « montée en gamme » a pu être éprouvée mercredi matin par les Nazairiens, durant la déambulation de Julien Bayou — secrétaire national des Verts — en soutien à la candidate écologiste. La précédait, mardi soir, le soutien public de Gilles Denigot au maire, appui moins surprenant qu’il n’y paraît, pour qui sait observer. Il faut en effet rappeler que monsieur Denigot avait participé à la campagne du maire dès avant le premier tour, distribuant ainsi ses tracts aux Halles, début mars.

Toujours est-il que sans être très surprenant, ce soutien de Gilles Denigot au maire témoigne de la longue inflexion d’une vie. Monsieur Denigot a commencé son parcours comme docker et syndicaliste indépendant, puis a donné aux Verts un siège inespéré au conseil général. Son mandat expiré, il a remercié ses anciens électeurs par un soutien à Emmanuel Macron en 2017, et les remercie maintenant de nouveau en soutenant son candidat local…

Voici comme l’on passe du syndicalisme ouvrier à une écologie de salon. Cela est bien désolant…

Le RN ne donnera « aucune voix à Samzun »

Article de Saint-Nazaire News du 22 juin 2020


Gauthier Bouchet (7,04 % au premier tour) avoue se poser la question d’un choix impossible dans ce duel entre gauches, mais refuse de donner la moindre voix à David Samzun.

« A ces électeurs interrogatifs et, parfois, inquiets de l’avenir de leur commune, nous disons qu’à tout le moins, aucune autre voix ne doit se porter sur le maire sortant, auquel nous avons manifesté depuis sept ans une opposition ferme et argumentée, quand beaucoup d’autres, au centre, à droite et même parmi cette gauche qui désormais le combat, s’opposaient par de prudentes abstentions… ou votaient ses délibérations, notamment budgétaires. Face à ce choix impossible entre deux gauches, des solutions de repli existent, dont une abstention de principe ou bien le vote nul. » déclare-t-il.

ÉDITORIAL — Municipale à Saint-Nazaire


Le second tour des élections municipales est prévu pour le 28 juin prochain. À Saint-Nazaire, le maire sortant est candidat à sa réélection, contre une de ses adjointes. C’est donc un duel entre gauches qui va se jouer.

Beaucoup d’électeurs ne se sont pas déplacés au premier tour, en mars dernier, compte tenu de la pandémie du coronavirus. Ainsi, le Rassemblement national, première liste d’opposition à l’issue du premier tour, ne peut se maintenir au second, à moins de cinq cents voix près. Pour les électeurs nazairiens du RN, se pose donc la question d’un choix impossible, en vue du second tour.

À ces électeurs interrogatifs et, parfois, inquiets de l’avenir de leur commune, nous disons qu’à tout le moins, aucune autre voix ne doit se porter sur le maire sortant, auquel nous avons manifesté depuis sept ans une opposition ferme et argumentée, quand beaucoup d’autres, au centre, à droite et même parmi cette gauche qui désormais le combat, s’opposaient par de prudentes abstentions… ou votaient ses délibérations, notamment budgétaires. Face à ce choix impossible entre deux gauches, des solutions de repli existent, dont une abstention de principe ou bien le vote nul. Le RN, loin de déserter la vie publique locale, trouvera de nouvelles modalités d’action et d’expressions, et les Nazairiens auront bientôt leur mot à dire : dès 2021, ils pourront marquer leur rejet de la gauche et leur volonté d’une alternative politique, en élisant les candidats que nous présenterons dans tous les cantons de l’agglomération nazairienne — et de la Loire-Atlantique — aux élections départementales.