Les choses sont claires, et nous ne laisserons personne décider à notre place. L’industrie de Saint-Nazaire et sa région va de plus en plus mal. Aujourd’hui, la situation des chantiers navals marque comme jamais cette crise que chacun pressentait, elle et tous ses symboles : travailleurs détachés, délocalisation des productions, transferts de technologie…
Alors, que faire ? S’agit-il, demain, d’enclencher la « reconversion » de notre bassin de vie et d’emploi, comme il y eut, par le passé la reconversion du Pas-de-Calais et de la Lorraine, après la disparition des mines et de la sidérurgie ? On sait, pour ces régions, ce qu’a concrètement signifié le mot « reconversion ». Il est devenu synonyme des mots « chômage », « déclin », « misère ».
Saint-Nazaire ne peut pas connaître un tel sort. Nos communes doivent rester maîtresses de leur destin industriel, malgré les mauvaises nouvelles qui s’accumulent ces dernières années : crises chez Gad, Baudet, à la SMH… et maintenant aux Chantiers. Mais nos communes ne peuvent rien seules. Encore faut-il la volonté nécessaire au sommet de l’État. Encore faut-il le Front national.
Gauche et droite ne pourront pas dire qu’ils n’avaient rien vu venir. Oui, une majorité de Nazairiens votera Marine Le Pen en 2017.
Seule Marine Le Pen garantit la survie de nos industries. C’est le seul espoir des Français, face aux candidats du renoncement, Fillon, Valls, Macron, tous coupables de la désindustrialisation de notre pays. Pour le Front national, redresser notre industrie n’est pas une option. C’est un devoir !
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