Communiqué
L’examen des nouvelles subventions associatives au conseil municipal de Saint-Nazaire, ce vendredi, a été l’occasion pour le FN de rappeler qu’il ne variait pas sur ses principes. Ainsi, bien que de nombreuses associations — la majorité de la liste mise au vote — méritait un juste financement de notre collectivité, afin qu’elles continuent à représenter dignement la diversité culturelle de Saint-Nazaire, nous étions au regret d’observer qu’un petit nombre d’associations communautaristes, toujours les mêmes, demandaient de l’argent public, et en demandaient beaucoup.
Dans le détail, nos votes ont donc naturellement été négatifs concernant les trois mille euros attribués au Mouvement de la paix (MDLP), à la Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen (LDH) et le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), jugeant qu’en plus de promouvoir un communautarisme certain, ces structures appuient de plus une politique hostile au FN — et exclusivement à son endroit — cela surtout en période électorale, et en décalage avec les buts que leur attribuent les statuts qui les fondent. S’agissant plus particulièrement du MRAP, notre refus était d’ailleurs d’autant plus motivé que le fait de demander une subvention exceptionnelle compte tenu de son trentième anniversaire est pour nous hors de propos.
C’est donc à regrets que nous n’avons pu voter aucune subvention pour aucune association, même sportive ou culturelle, ce vendredi, le maire ayant refusé de dissocier les votes, mais surtout, par la faute du MRAP, de la LDH et du MDLP, dont la présence résiduelle dans notre tissu associatif nuit clairement au libre examen, et, nous le savons maintenant par voie de justice, au libre débat. Un jour, il faudra bien biffer le MRAP de cette liste, le biffer des subventions de la municipalité, et finalement de nos vies, si nous voulons faire réellement émerger l’amitié entre les peuples, à commencer par celle que les décideurs politiques doivent au peuple qui leur a donné confiance et suffrage : le peuple français.
0 comments